Sébastien Teulet, éleveur de canard dans le Lot
Sébastien Teulet
Ce que j’aime c’est être à l’extérieur, au milieu des animaux.
Il aurait pu être guide au Gouffre de Padirac, mais l’élevage a rattrapé Sébastien, qui après avoir collaboré sur l’exploitation avec son père est, depuis 2003, associé en GAEC avec son frère.
A l’origine, l’entreprise familiale fait de l’élevage de bovins sur une ferme de 20 hectares avec une vingtaine de vaches. C’est depuis 1994 que les canards sont arrivés à Mayrinhac Lentour, dès le départ accompagnés par La Quercynoise, ce qui fait de Sébastien Teulet l’un des doyens de la coopérative.
De son propre aveu, c’est grâce aux canards qu’il devient un véritable agriculteur et qu’il développe son exploitation. Actuellement, ils possèdent soixante-dix vaches laitières et cinquante allaitantes en plus des canards sur trois parcours. Chez les Teulet c’est Sébastien qui s’occupe des canards, qu’il juge « tranquilles, à boire, manger et dormir », et son frère des bovins. Mais l’élevage n’est pas sa seule activité, il est également gaveur et reçoit ainsi les canards d’autres agriculteurs. Une partie de ceux qu’il aura élevés seront engraissés ailleurs, car l’IGP n’autorise que mille canards par gaveur.
Aujourd’hui les canards qui évoluent devant lui, ont soixante-cinq jours : d’ici dix jours un millier d’entre eux passeront entre ses mains pour la dernière étape de l’élevage.
De son propre aveu, c’est grâce aux canards qu’il devient un véritable agriculteur et qu’il développe son exploitation. Actuellement, ils possèdent soixante-dix vaches laitières et cinquante allaitantes en plus des canards sur trois parcours. Chez les Teulet c’est Sébastien qui s’occupe des canards, qu’il juge « tranquilles, à boire, manger et dormir », et son frère des bovins. Mais l’élevage n’est pas sa seule activité, il est également gaveur et reçoit ainsi les canards d’autres agriculteurs. Une partie de ceux qu’il aura élevés seront engraissés ailleurs, car l’IGP n’autorise que mille canards par gaveur.
Aujourd’hui les canards qui évoluent devant lui, ont soixante-cinq jours : d’ici dix jours un millier d’entre eux passeront entre ses mains pour la dernière étape de l’élevage.
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