Patricia Brel éleveuse de palmipèdes gras
Patricia Brel éleveuse de palmipèdes gras
« On en apprend tous les jours »
Aujourd’hui, Patricia reçoit 15000 canetons nés le matin même, elle assure que « le premier jour c’est le plus mignon » et c’est vrai.
A partir d’aujourd’hui et pendant huit jours, ils sont dans les bâtiments, chauffés à 31 degrés sous les radiants et d’ambiance générale à 28. Decrescendo pendant une semaine, à raison d’un degré par jour, la température sera baissée jusqu’à être arrêtée. A ce stade, les petits canards gagnent en liberté et commencent à sortir sur les parcours et restent affranchis sur leur alimentation. C’est en effet pendant les six premières semaines qu’elle est à volonté. Ensuite, c’est le rationnement. Ce changement de modalité, cette gradation dans l’assistance que l’on porte aux canards fait dire à Patricia « que du début à la fin on ne travaille pas de la même façon ». C’est donc un élevage où l’on ne souffre pas de la routine.
Et « comme on en apprend tous les jours » notamment avec le concours de la Quercynoise, qui par ses échanges quotidiens, apporte un véritable « confort » et assure une forme de « sécurité », nul doute qu’avec son mari avec qui elle est installée en GAEC depuis 2008, elle ne regrette d’avoir abandonné les vaches laitières pour le canard.
A partir d’aujourd’hui et pendant huit jours, ils sont dans les bâtiments, chauffés à 31 degrés sous les radiants et d’ambiance générale à 28. Decrescendo pendant une semaine, à raison d’un degré par jour, la température sera baissée jusqu’à être arrêtée. A ce stade, les petits canards gagnent en liberté et commencent à sortir sur les parcours et restent affranchis sur leur alimentation. C’est en effet pendant les six premières semaines qu’elle est à volonté. Ensuite, c’est le rationnement. Ce changement de modalité, cette gradation dans l’assistance que l’on porte aux canards fait dire à Patricia « que du début à la fin on ne travaille pas de la même façon ». C’est donc un élevage où l’on ne souffre pas de la routine.
Et « comme on en apprend tous les jours » notamment avec le concours de la Quercynoise, qui par ses échanges quotidiens, apporte un véritable « confort » et assure une forme de « sécurité », nul doute qu’avec son mari avec qui elle est installée en GAEC depuis 2008, elle ne regrette d’avoir abandonné les vaches laitières pour le canard.
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