Laurent Lafragette, éleveurs de canard
éleveur de canard à Saint-Laurent les Tours
« Vision et visibilité »
C’est à la fin de ses études, lorsqu’il revient travailler sur l’exploitation familiale de Saint Laurent Les Tours, que Laurent Lafragette a développé l’élevage de canards gras.
Ses parents partis à la retraite, c’est dorénavant en association avec un voisin et avec « un jeune » qui les a rejoint depuis six mois, qu’ils s’occupent de lots de 6000 canards répartis dans trois bâtiments, en amont et aval d’une charmante petite route sinueuse.
Dès le début il travaille avec la Quercynoise dont il apprécie l’engagement ainsi que l’esprit collectif et collaboratif de la coopération. « Tous les éleveurs sont impliqués dans la chaine de production. De l’élevage au produit fini, on a une visibilité et une traçabilité sur toute l’échelle, du caneton au canard gavé. » La visite hebdomadaire du technicien de la Quercynoise, qui assure le suivi, conseille et assiste, permet les ajustements et une grande réactivité dans les conditions d’élevage.
Sous le regard, probablement bienveillant de ses mulards, Laurent explique le processus pour ces canards âgés de 10 semaines. A ce stade, il faut chaque jour pailler, vérifier les abreuvoirs, mais l’alimentation se fait toutes les 36h et non plus à demande, afin de développer le jabot. Le concours de deux acolytes permet à chacun de prendre ses quarts !
Ses parents partis à la retraite, c’est dorénavant en association avec un voisin et avec « un jeune » qui les a rejoint depuis six mois, qu’ils s’occupent de lots de 6000 canards répartis dans trois bâtiments, en amont et aval d’une charmante petite route sinueuse.
Dès le début il travaille avec la Quercynoise dont il apprécie l’engagement ainsi que l’esprit collectif et collaboratif de la coopération. « Tous les éleveurs sont impliqués dans la chaine de production. De l’élevage au produit fini, on a une visibilité et une traçabilité sur toute l’échelle, du caneton au canard gavé. » La visite hebdomadaire du technicien de la Quercynoise, qui assure le suivi, conseille et assiste, permet les ajustements et une grande réactivité dans les conditions d’élevage.
Sous le regard, probablement bienveillant de ses mulards, Laurent explique le processus pour ces canards âgés de 10 semaines. A ce stade, il faut chaque jour pailler, vérifier les abreuvoirs, mais l’alimentation se fait toutes les 36h et non plus à demande, afin de développer le jabot. Le concours de deux acolytes permet à chacun de prendre ses quarts !
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