Aurore Delanotte éleveuse de canard gras
Aurore Delanotte éleveuse passionnée de canard gras
« C’est sympa de voir grandir les canards »
Monitrice d’équitation, Aurore a quitté le domaine équestre pour s’accomplir dans l’élevage de canards gras depuis deux ans.
C’est pour rejoindre son conjoint, éleveur de bovins qu’Aurore est devenue agricultrice « sur le tard », en 2014, et s’installe sur une exploitation déjà existante. De son aveu, il y a quelque chose de gracieux dans l’élevage de canard ; les voir grandir et les accompagner à tous les stades de leur vie. C’est aussi un labeur relativement facile pour une femme.
Ainsi, elle leur rend visite six à sept fois par jour. Elle commence par « faire un tour » et vérifier que tous vont bien, ensuite elle paille et vérifie leur alimentation et les abreuvoirs – jusqu’à trente jours, ils sont en alimentation illimitée. Puis, parce que les canards sortent en extérieur sur parcours à partir de quinze jours, elle contrôle les clôtures électrifiées pour se prémunir d’attaques de sauvagine.
Aujourd’hui elle s’occupe tout au long de l’année de plus de dix milles canards, cinq et six milles répartis dans deux bâtiments. Depuis le début, La Quercynoise est à ses côtés pour la suppléer dans cet élevage qui semble la passionner. Si elle n’a pas oublié son amour des chevaux, elle a, indubitablement, développé un attachement particulier aux mulards.
C’est pour rejoindre son conjoint, éleveur de bovins qu’Aurore est devenue agricultrice « sur le tard », en 2014, et s’installe sur une exploitation déjà existante. De son aveu, il y a quelque chose de gracieux dans l’élevage de canard ; les voir grandir et les accompagner à tous les stades de leur vie. C’est aussi un labeur relativement facile pour une femme.
Ainsi, elle leur rend visite six à sept fois par jour. Elle commence par « faire un tour » et vérifier que tous vont bien, ensuite elle paille et vérifie leur alimentation et les abreuvoirs – jusqu’à trente jours, ils sont en alimentation illimitée. Puis, parce que les canards sortent en extérieur sur parcours à partir de quinze jours, elle contrôle les clôtures électrifiées pour se prémunir d’attaques de sauvagine.
Aujourd’hui elle s’occupe tout au long de l’année de plus de dix milles canards, cinq et six milles répartis dans deux bâtiments. Depuis le début, La Quercynoise est à ses côtés pour la suppléer dans cet élevage qui semble la passionner. Si elle n’a pas oublié son amour des chevaux, elle a, indubitablement, développé un attachement particulier aux mulards.
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